Un chandelier en Ouraline du XIXème siècle, brisé puis reconstitué, rayonne d’une lueur fluorescente palpitant au rythme des ondes électromagnétiques qui le traversent.
Éclairant ainsi notre conscience d’une dimension invisible qui se superpose à l’espace dans lequel nous vivons, comme baignés en permanence dans le flux des liens qui nous unissent.
Une quatrième dimension qui serait finalement le royaume des vivants.